L’article 77 de la loi mobilité LOM stipule que les entreprises mobiles doivent verdir leurs parkings dans le cadre de leur plan global de mobilité. C’est pourquoi l’article 224-10 du code de l’environnement prévoit de nouvelles obligations pour les flottes d’entreprise à partir de l’année prochaine. Ces flottes doivent comprendre des véhicules à faibles émissions. Mais qui est concerné par la loi lom borne de recharge ?
La Loi LOM : définition
La loi LOM, qui a pris effet il y a quelques années, a pour objectif d’augmenter l’utilisation des véhicules électriques et la mise en place de bornes de recharge au niveau des régions et communes de la zone française. De plus, la loi lom borne de recharge permet de diminuer l’impact environnemental de la pollution causée par les gaz émis. En plus de la conduite d’une voiture, du vélo ou de l’utilisation des transports publics, les véhicules électriques offrent une nouvelle approche pour résoudre les problèmes environnementaux actuels. Ainsi, l’un des principaux défis consiste à encourager la recharge de ces derniers dans les différentes communautés. En fait, la loi lom borne de recharge a pour objectif d’accroitre la mobilité des personnes qui possèdent des véhicules électriques tout en minimisant l’effet environnemental du transport, en réponse au cadre social, environnemental et climatique actuel. Il est crucial d’avoir des équipements de charge rapide à portée de main lorsque la mobilité électrique se développe. En effet, les gens utilisent des équipements de charge lorsqu’ils ont besoin de recharger leur véhicule avant de longs trajets, au travail ou ailleurs.
Loi Lom : qui est concerné ?
L’échéance de ce règlement approche à grands pas. Les entreprises doivent respecter des quotas pour les voitures à faibles émissions. Cette exigence est similaire au transport public ; il est destiné à réduire la pollution de l’air et les émissions de CO2. Le gouvernement déclare que les entreprises qui gèrent des flottes de plus de 100 véhicules doivent surtout appliquer la loi lom borne de recharge. La loi d’orientation des mobilités ou loi Lom ou a été votée il y a quelques années. Cette loi donne aux salariés le droit de se déplacer dans leur vie quotidienne, que ce soit pour des déplacements liés au travail ou simplement pour se déplacer entre les domiciles. Les employeurs peuvent améliorer les performances de leurs employés en tirant parti de cette loi et en la mettant en œuvre avec succès. Cette loi réglemente le nombre de voitures dont dispose une entreprise. Cela a également un impact sur la manière dont cette loi est appliquée. Les salariés sont déplacés de leur domicile vers leur lieu de travail. Cela est nécessaire, car il est impossible d’appliquer cette loi avec désinvolture ou à la légère. Une fois la loi votée par le parlement, les politiques ont jugé bon d’établir une relation de confiance avec les entreprises. Cependant, cela a été de courte durée ; comme la LOM manque de dispositions prévoyant des sanctions contre les entreprises qui ne sont pas ou ne peuvent pas être dans les clous, les politiques peuvent facilement revenir sur cette question si le verdissement du parc ne suit pas le calendrier défini.
Quels véhicules à faibles émissions sont « autorisés » ?
Il faut lire entre les phrases et se tourner vers le référentiel de données joint à l’arrêté récemment qui définissent les modalités de publication afin de déterminer quels modèles doivent incorporer ces quotas de verdissement. En fait, le numéro d’article de la section 224-15-11 de l’Environnement stipule que les véhicules de la flotte N-1 doivent être à faibles émissions. L’administration chargée de l’écologie rapporte que les voitures à faibles émissions ont des émissions de CO2 inférieures à 60 grammes par kilomètre. Cette définition est amenée à changer prochainement avec la transposition de l’UE 2019/1161, plus connue sous le nom de « directive véhicules propres ». Dans un avenir proche, le plafond de CO2 sera abaissé à 50 grammes par kilomètre. Le véhicule approprié est révélé par les autorités comme étant un véhicule électrique ou hybride rechargeable. Les entreprises peuvent facturer des options de transport telles que des vélos et des scooters pour leurs employés. De plus, les chefs d’entreprise peuvent organiser des services de covoiturage ou d’autres modes de transport partagés sans frais pour eux. Tant que les chefs d’entreprise peuvent organiser cela, ils peuvent fournir tout autre moyen de transport souhaité par les employés sans frais supplémentaires. Les entreprises peuvent réduire les dépenses de transport des employés en tenant compte de la façon dont leurs besoins affectent les opérations de leur entreprise. Elles doivent également réfléchir à la manière dont ils doivent déplacer leurs employés de manière efficace pour profiter des avantages.
Les enjeux sociaux de la loi Lom
Les entreprises peuvent utiliser la loi Lom pour justifier la fourniture d’indemnités de déplacement dans leurs documents comptables. Ce n’est pas ainsi que la loi est censée être utilisée ; au lieu de cela, il vise à réduire les dépenses des employés. Avant d’appliquer cette loi lom borne de recharge, les entreprises doivent s’assurer qu’elles disposent de suffisamment de véhicules pour tous leurs employés. Les employeurs s’attendent à ce que cette nouvelle réglementation légale leur offre des solutions sur les problèmes financiers. Ils estiment quand même que la mise en œuvre de cette nouvelle loi sera difficile en raison de mesures peu claires dans le processus d’application légale. De plus, elles pensent que cette nouvelle loi causera plus de pollution, car les employés doivent voyager de plus en plus loin. Cette loi permet de faire facilement la différence entre les entreprises de moins de cinquante employés et celles de plus de 50. Les petites entreprises de 50 employés ou moins n’ont pas besoin de changer grand-chose à leurs forfaits mobiles, mais les grandes entreprises de plus de 100 employés doivent mettre en œuvre toute modification de son plan de mobilité. En supposant que la loi soit adoptée, l’image et la notoriété de l’entreprise seront fidèlement représentées dans le monde réel par les avantages qui découlent du soutien à ce projet de loi. Plus précisément, cela fera des employés des collaborateurs légitimes au lieu de simples partenaires illusoires. Ce faisant, leur bien-être sera considéré comme faisant partie des plans de l’entreprise au lieu d’être une pensée passagère.